Aperçu des sections

  • Description

    Comment fonctionne l'IPM : une méthode de lutte antiparasitaire durable

    Les concepts et les stratégies développées dans le cadre de l’agriculture durable ont évolué vers le concept intégré de «gestion conservatoire de l'eau, de la biomasse et de la fertilité des sols».

    Le terme de « production Intégrée » (ou Integrated Crop Management – ICM) dérive directement des concepts de « lutte intégrée » de l’OILB (Organisation Internationale de Lutte Biologique et Intégrée contre les animaux et les Plantes nuisibles). Il s’agit d’une conception touchant non seulement à la protection des plantes mais à l’ensemble des pratiques culturales.

    La production intégrée diffère de l'agriculture raisonnée, fondée sur la seule optimisation des méthodes classiques de production. En agriculture raisonnée, les agriculteurs ne traitent que s'il le faut, au bon moment et avec une dose adaptée. En production intégrée, l'utilisation de techniques alternatives, comme la lutte biologique ou l'utilisation de zones de compensation écologique, est recherchée car ces méthodes peuvent être tout aussi efficaces d'un point de vue agronomique et plus respectueuses de l'environnement. La production intégrée se distingue aussi de l'agriculture biologique car elle n'abandonne pas les méthodes chimiques lorsqu'elles ne posent pas de problèmes scientifiquement démontrés pour la sécurité alimentaire et pour l'environnement.

    Comme son nom l'indique, la production intégrée « intègre » tous ces éléments. On applique ce qui est le mieux pour l'environnement, le consommateur et le producteur.

    La production intégrée permet aux producteurs :

    ü  de gérer et rentabiliser leurs cultures par une gestion intégrée des ravageurs, en considérant l'environnement comme un allié ;

    ü  d'inciter à une gestion plus rigoureuse de l'entreprise et à faire des choix plus judicieux parmi les moyens de lutte, afin de rationaliser, réduire et remplacer les pesticides et ainsi diminuer leurs risques ;

    ü  de devenir un élément indispensable de mise en marché en favorisant le positionnement des produits.

     

     

     

     

     


  • Fiche contact

    Faculté: Sciences de la Nature et de Vie et des Sciences de la terre et l’Univers

    Domaine : SNV

    Département: Sciences agronomiques

    Public cible : 2ème année Master, spécialité : Protection des Végétaux ;      Semestre I

    Intitulé du cours : Lutte intégrée en zoologie agricole

    Unité d’enseignement : Fondamentale

    Crédit: 05

    Coefficient: 03

    Durée : 60 heures/ 15 semaines

    Horaire : Dimanche: 14h-17h

    Salle: 30

    Enseignant :

    Cours, TD et TP (sorties sur terrain) : Dr. LAKEHAL Sarra

    Contact : par mail au sarra.lakehal@univ-tlemcen.dz.

    Disponibilité :

    ·         Au bureau : Lundi, Mardi, Mercredi de 10h00 -12h00

    ·         Par mail : Je m’engage à répondre par mail dans 48 heures qui suivent la réception du message, sauf en cas des imprévus.

     

    I.                  Présentation du cours


  • Espace de communication

  • Objectifs du cours

  • Pré-requis

    Les connaissances acquises auparavant, notamment en matière:

     phytopathologie ; 

    malherbologie, l’entomologie et la nématologie permettent à l’étudiant de suivre cet enseignement.


  • Syllabus

    CHAPITRE I : GENERALITES

    I.1. Définition de la lutte intégrée

    I.1.1 .Notions de ravageur et de seuil de nuisibilité

    I.1.2 .Différentes définitions de la lutte intégrée

    I.2. Causes de l'avènement de la lutte intégrée

    I.2.1. Phénomène d'accoutumance ou résistance aux pesticides

    I.2.2 .Phénomène d'accumulation

    I.2.3. Non- spécificité des pesticides

    I.2.3. l. Problème de résurgence

    I.2.3.2. Apparition de nouveaux ravageurs autochtones

    I.2.4. Biodégradabilité lente ou même absente

    I.2.5. Problème des résidus

    I.2.7. Problème des effets de pollution de l'environnement

    I.3. Lutte raisonnée, lutte rationnelle et lutte symptomatique

     

    CHAPITRE II : COMPOSANTES DE LA LUTTE INTEGREE

    II.1. Les moyens génétiques (Biologie moléculaire)

    II.2. Les moyens biologiques

    II.2.1. Utilisation d'organismes antagonistes

    II.2.2. Emploi d'organismes entomopathogènes

    II.2.3. Action des régulateurs de croissance et des substances analogues de l'hormone juvénile II.2.4. Intérêt des souches hypo-virulentes

    II.3. Les moyens agro- techniques

    II.4. Les moyens chimiques

    II.4.1. Les matières actives spécifiques

    II.4.2. Les attractifs sexuels et appâts empoisonnés

    II.5. Les moyens physiques

    II.5.1. Les moyens thermiques

    II.5.2. Les moyens radio-biologiques

     


  • Chapitre I : Généralités

    Les objectifs spécifiques

  • Chapitre 2: Composantes de la lutte intégrée


  • Section 9

  • Section 10