Topic outline
- General
General
- Quelles sont les étapes de la recherche documentaire ?
Quelles sont les étapes de la recherche documentaire ?
- C'est quoi la technique documentaire ?
L'AFNOR définit la documentation comme l'ensemble des techniques permettant le traitement permanent et systématique de documents ou de données, incluant la collecte, le signalement, l'analyse, le stockage, la recherche, la diffusion de ceux-ci, pour l'information des usagers.
- DEMARCHE
METHODOLOGIQUE DE
RECHERCHE :
La méthodologie peut être définie comme l'ensemble des méthodes, des procédés et des règles permettant de choisir les outils statistiques adaptés à une analyse des données. Elle permet au chercheur de contrôler la qualité de ses recherches et de répondre à ses objectifs ...- La recherche scientifique est un processus dynamique ou une démarche rationnelle qui permet d'examiner des phénomènes, des problèmes à résoudre, et d'obtenir des réponses précises à partir d'investigations. ... Les modes de fonctionnement de la recherche se sont modifiés avec la seconde guerre mondiale.
Comment on fait une recherche ?
Étapes :
-Sélectionnez un moteur de recherche. ...-Pressez le bouton Entrée du clavier de votre ordinateur.-Choisissez quelques mots-clés ou expressions décrivant votre sujet, parmi les plus spécifiques ou appropriés. ...-Pressez la touche Entrée de votre clavier.-Accédez à vos résultats. ...-Répétez les étapes précédentes si nécessaire.•Qu'est-ce qu'une source documentaire ?Une source, ou source d'information, est l'origine d'une information. ... Le concept de « source » ne doit pas être confondu avec celui de « référence ». Une référence ne prétend qu'à l'identification objective et raisonnée d'éléments bibliographiques, dont le nom de l'auteur, relatifs au document.
- Qu'est-ce que la bibliographie d'un auteur ?
Une bibliographie est une liste structurée de références d'ouvrages ou d'autres documents, notamment d'articles de revues, ayant un sujet commun. ... La discipline qui s'occupe des bibliographies, c'est-à-dire des répertoires de références de livres, s'appelle aussi bibliographie.
- Qu'est-ce qu'une base documentaire ?
Définition : Base documentaire. Ensemble de ressources axées sur des connaissances produits ou métiers, auxquelles les collaborateurs peuvent facilement se référer pour compléter leurs connaissances. Ces outils revêtent différentes formes : bibles, guides… En version digitale, ils sont facilement actualisables.
- Qu'est-ce qu'une notice d'utilisation ?
Définition Notice technique / notice d'utilisation
Désigne un support papier de format variable sur lequel est imprimé l'ensemble des indications qui ont trait aux caractéristiques techniques, au montage, à la mise en place, à l'entretien et à l'utilisation d'un produit.•C'est quoi une approche méthodologique ?"Approche" fait référence soit à une méthodologie générale (comment conduire la recherche), soit à un paradigme plus global qui consiste à partager une même méthodologie pour des objectifs communs et des éléments théoriques. Elle inclut un ensemble de méthodes utiles et éprouvées pour étudier un ensemble de phénomènes.
•Quelle est la différence entre méthode et méthodologie ?Une méthode est souvent un savoir-faire développé par une personne ou une équipe travaillant dans un domaine. Une méthodologie est donc également une forme de capitalisation de l'expérience. Pour pouvoir les différencier, on peut dire qu'une méthodologie est la science des méthodes.
•Qu'est-ce que la problématique d'un mémoire ?La problématique est la présentation d'un problème sous différents aspects. Dans un mémoire de fin d'étude, la problématique est la question à laquelle l'étudiant va tâcher de répondre. Une problématique mal posée est un hors-sujet. ... La problématique ne demande pas une définition d'un mot.
•C'est quoi l'approche théorique ?Qu'est-ce qu'une approche théorique. ... Afin de comprendre pourquoi Protagoras ne peut pas être considéré comme un théoricien, il est utile de revenir à la base de ce qu'est une théorie. En effet, une théorie sert à comprendre un phénomène particulier en utilisant unraisonnement ou une vérification pratique.
•Qu'est-ce que la science en philosophie ?La science est l'ensemble des connaissances et études d'une valeur universelle, caractérisées par un objet et une méthode fondés sur des observations objectives vérifiables et des raisonnements rigoureux.
Comment rédiger un mémoire de recherche ?
Les étapes de la rédaction du mémoire
-Trouver un sujet. ...-Définir la problématique. ...-Choisir son directeur de mémoire. ...-Faire de la recherche. ...-Faire le plan. ...-Effectuer le travail de terrain. ...-Passer à la rédaction. ...-Consulter son directeur de mémoire parallèlement à ces étapes.•Qu'est-ce qu'une méthode de recherche scientifique ?La méthode scientifique désigne l'ensemble des canons guidant ou devant guider le processus de production des connaissances scientifiques, qu'il s'agisse d'observations, d'expériences, de raisonnements, ou de calculs théoriques.
•C'est quoi l'approche théorique ?Qu'est-ce qu'une approche théorique. ... Afin de comprendre pourquoi Protagoras ne peut pas être considéré comme un théoricien, il est utile de revenir à la base de ce qu'est une théorie. En effet, une théorie sert à comprendre un phénomène particulier en utilisant unraisonnement ou une vérification pratique.
•C'est quoi la méthode descriptive ?La conception descriptive de la recherche est une méthode scientifique consistant à observer et à décrire le comportement d'un sujet sans l'influencer d'aucune façon. ... Les résultats d'une recherche descriptive ne peuvent en aucun cas être utilisés comme réponse définitive ou pour infirmer une hypothèse.
•Qu'est-ce qu'une approche empirique ?La recherche empirique peut être définie comme "la recherche basée sur l'expérimentation ou l'observation (evidence)". ... Le thème central de la méthode scientifique est que toute preuve doit être empirique, ça veut dire qu'elle est fondée sur des preuves ou l'evidence.
•C'est quoi une approche sociologique ?La sociologie est l'étude des êtres humains dans leur milieu social. ... Une explication sociologique est vue comme le produit d'une démarche scientifique et/ou intellectuelle, afin de rendre compte, expliquer ou comprendre un phénomène que le sens commun permet aussi d'appréhender.
•Qu'est-ce qu'un paradigme en sociologie ?Il permet de le comprendre et d'essayer de le prévoir. En sociologie, par exemple, le terme "paradigme" est employé pour décrire l'ensemble des expériences, des croyances et des valeurs qui conditionnent la façon dont un individu perçoit la réalité et réagit face à ce qu'il perçoit.
•C'est quoi la méthode comparative ?Méthode comparative. Également appelée « méthode des barèmes », la méthode comparative consiste à comparer la valeur d'une entreprise avec celle d'autres entreprises récemment cédées et qui présentent les mêmes caractéristiques (taille, secteur, localisation, etc).
•C'est quoi une étude comparative ?L'analyse comparative est un processus qui permet de déterminer le meilleur candidat pour exécuter une tâche ou un procédé donnés. Cette analyse établit un modèle de référence pour toute personne qui souhaite le suivre ou qui cherche à exécuter ces tâches le mieux possible.
•C'est quoi une approche pédagogique ?La pédagogie (du grec παιδαγωγία, direction ou éducation des enfants) désigne l'art de l'éducation. Le terme rassemble les méthodes et pratiques d'enseignement requises pour transmettre des compétences, c'est-à-dire un savoir (connaissances), un savoir-faire (capacités) ou un savoir-être (attitudes).
•Qu'est-ce que des données empiriques ?Preuve empirique, données ou connaissance, aussi appelée expérience des sens, est un terme collectif pour désigner la connaissance ou les sources de la connaissance acquise au moyen des sens, en particulier par l'observation et l'expérimentation. Le terme vient du mot grec ancien pour expérience, ἐμπειρία (empeiría).
•Qu'est-ce que l'empirisme en philosophie ?L'empirisme est une doctrine philosophique qui considère que l'origine de toutes connaissances humaines ne provient que de l'expérience sensible, de l'observation. Ainsi nos sens sont à la source de nos connaissances. ... L'empirisme s'oppose au rationalisme et à la théorie des idées innées dans notre esprit (innéisme).
•Qu'est-ce qu'une approche anthropologique ?L'anthropologie sociale, ou ethnologie, est une discipline des sciences humaines et sociales qui étudie l'homme en société. En d'autres termes, elle étudie les rapports sociaux propres à chaque groupe humain ou à chaque situation, s'intéressant dans le même mouvement à la grande variabilité des formes de vie sociale.
•Qu'est-ce qu'un père fondateur ?Les Pères fondateurs des États-Unis (en anglais : the Founding Fathers) sont les signataires de la Déclaration d'indépendance ou la Constitution des États-Unis, ainsi que ceux participant à la révolution américaine comme Revolutionaries.
•C'est quoi une théorie ?Une théorie (du grec theorein, « contempler, observer, examiner ») est un ensemble cohérent d'explications, de notions ou d'idées sur un sujet précis, pouvant inclure des lois et des hypothèses, induites par l'accumulation de faits provenant de l'observation, l'expérimentation ou, dans le cas des mathématiques, ...
•Quelle est la différence entre un modèle et une théorie ?Bien que plusieurs manuels scientifiques les emploient de façon interchangeable, les deux termes sont bien distincts et il faut préciser les différences entre eux. Le modèle est une partie intégrante d'une théorie, mais la théorie englobe aussi des prémisses et des lois. La notion de théorie est donc plus large.
•Quelles sont les différentes méthodes pédagogiques ?Les différentes méthodes pédagogiques
La méthode expositive, transmissive ou magistrale ;
La méthode démonstrative ;
La méthode interrogative ou maïeutique ;
La méthode active ou dite « de découverte » ;
La méthode expérientielle.
•C'est quoi une démarche pédagogique ?Définition et présentation des méthodes existantes
L'usage de l'expression "méthode pédagogique" est extrêmement extensif dans la littérature pédagogique. ... Ainsi, une méthode pédagogique décrit le moyen pédagogique adopté par l'enseignant pour favoriser l'apprentissage et atteindre son objectif pédagogique.
•C'est quoi une approche méthodologique ?Approche" fait référence soit à une méthodologie générale (comment conduire la recherche), soit à un paradigme plus global qui consiste à partager une même méthodologie pour des objectifs communs et des éléments théoriques. Elle inclut un ensemble de méthodes utiles et éprouvées pour étudier un ensemble de phénomènes.
- Les critères d’un bon sujet de recherche
Les critères d’un bon sujet de recherche
1- Tout d’abord, le choix d’un sujet de recherche est personnel et donc il est subjectif. Avant de lancer la recherche, le choix relève purement de la subjectivité. Toute personne choisit une thématique selon son profil mais aussi selon ses goûts personnels. La recherche prendra plus d’objectivité au fur et à mesure qu’elle avance et commence à s’inscrire dans la dimension scientifique et celle du savoir. La cohérence de la démarche adoptée et la pertinence de l’enquête de terrain lui donneront cette dimension objective.
2- La recherche est adoptée aussi selon plusieurs facteurs qui vont déterminer le choix d’un sujet : les intérêts stratégiques pour le chercheur ou, aussi, pour tout le domaine de la recherche sont importants. Certains sujets sont plus intéressants que d’autres car ils augmentent les chances d’augmenter les bénéfices au plan économique. Certains autres sujets ont un rapport direct avec le développement industriel lorsqu’il s’agit d’accompagner une production qualitative d’un produit de consommation par exemple. Par ailleurs, certains sujets de recherche ont un rapport direct avec le développement du savoir et des théories scientifiques et d’innovation. Nous pouvons bien évidemment citer quelques domaines où un sujet de recherche pourrait être d’une grande utilité : la sociologie, la psychologie, l’enseignement des langues, la sociolinguistique etc.
3- Un bon sujet de recherche se distingue des autres qui le sont moins lorsque les résultats escomptés au final sont utiles pour la société, l’être humain et l’environnement où il évolue. Son utilité est mesurée selon son impact au plans économique, social, politique et social. La réussite d’un bon sujet de recherche dépendra de son impact sur l’environnement et sur le rendement qu’il peut ramener à la société.
4- L’utilité du choix d’un sujet de recherche implique à dire que le choix doit reposer sur sa pertinence. Celle-ci est mesurée par l’impact et l’utilité qu’elle peut avoir.
5- Une recherche doit avoir des objectifs précis. On se pose la question suivante : pourquoi faisons-nous cette recherche ? Qu’est-ce qui est attendu ?
- Elle peut servir à la science et au développement du savoir.
- A vérifier des hypothèses de recherche
- A confirmer des théories qui existent
- A Prouver qu’une théorie n’est plus fiable
- A proposer une démarche de travail
- A vérifier des représentations
- Etc.
- Topic 3
Topic 3
- L’enseignement précoce des langues étrangères en Algérie.
- Comment est constituée la langue maternelle ?
- Quelle est la différence entre langue maternelle, langue seconde, langue étrangère, langue nationale, langue officielle.
- Analyse d’une conversation entre deux jeunes étudiants : (5mn) - le code swiching (alternance codique).
- L’objectivité/Subjectivité dans un article de presse.
- Description de la communication par SMS/messenger/viber
- Comment fonctionne les types des mails (émail) : analyse sociolinguistique.
- Le français dans la chanson française ou francophone (Brel, Cabrel, ….).
- Analyse des interactions dans la communication écrite en temps réel (sur les réseaux sociaux)
- Analyse des situations de communication : les registres de langues.
- Description sociolinguistique d’une émission radiophonique (La chaîne 3).
- Analyse d’une émission télévisuelle : les registres ou autre (Canal Algérie ou chaîne française..).
- Analyse du référent culturel dans un roman littéraire en langue française.
- Interview réalisée avec une personnalité professionnelle, en français : un prof, un médecin, un sociologue, un psy, un (e) responsable de l’université (directe ou par internet).
- Des enfants qui apprennent à parler en français grâce à la télé (dessins animés etc.).
- L’anglais dans le primaire.
- Analyse d’un débat sur un sujet d’actualité proposé par les participants eux-mêmes.
- Les niveaux de la langue française selon le cadre européen commun de référence.
- Analyse d’une publicité en français en Algérie : Slogans, enseignes, dépliants, produits alimentaires, radiophoniques, télévisuelles…).
- L’information et le discours orienté.
- Analyse du discours politique (Presse, TV, Campagne etc.).
- Les problèmes de langue chez les étudiants de 1ère année licence.
- Analyse d’un manuel scolaire
- Est-ce que les parents doivent (ou pas) aider leurs enfants à la maison ? Le soutien parental….
- Vos propositions……
Techniques de travail universitaire : Feuille de route
Quelles sont les étapes de la réalisation du projet de recherche ?
Mon projet de recherche doit comporter les étapes suivantes :
1- Une introduction générale : elle doit comporter :
• Des définitions sommaires (non approfondies) des concepts clés
• Le constat de l’objet de la recherche : qu’avez-vous constaté et qui vous a poussé à choisir ce sujet ? Qu’est-ce qui vous a amené à vous poser les questionnements et poser le problème ?
• Une problématique (la question principale + les questions secondaires)
• Les hypothèses de recherche : des phrases déclaratives exprimant des conclusions provisoires et qui restent à vérifier par une enquête de terrain.
• Ce qui est envisagé dans l’enquête de terrain.
2- Un cadre théorique :
• Présentation de la thématique choisie
• Définir de manière exhaustive les concepts clés de votre sujet.
• Définir toutes les notions en relation avec votre sujet traité.
• Il est intéressant d’inclure aussi quelques citations d’auteurs qui évoquent elles aussi les mêmes notions.
3- Cadre méthodologique:
• Où s’est déroulée l’enquête de terrain ?
• Avec qui s’est déroulée l’enquête de terrain ? Préciser la population d’enquête ou/et le corpus utilisé.
• Comment s’est déroulée l’enquête de terrain ?
• Quels problèmes avez-vous rencontrés lors du déroulement de l’enquête ?
• Quel est l’outil (ou quels sont les outils) que vous avez utilisé(s) pour votre enquête ? Présentez un exemple vierge.
4- Enquête de terrain : Commentaire et analyse des données recueillies :
· ils doivent se faire en rapport direct avec la problématique et les hypothèses. L’analyse doit ramener des réponses à vos questionnements de départ.
· Il est recommandé de faire de petites conclusions à chaque fois que vous arrivez à des résultats partiels (de petites synthèses par rapport aux données auxquelles vous êtes arrivés.
· Vous pouvez illustrer votre analyse par des tableaux, histogrammes, schémas etc.
4- Conclusion générale : elle doit comporter :
• Synthèse générale des résultats obtenus
• Vérification des hypothèses de recherche
• Réflexions générales sur votre travail accompli en se projetant sur de nouvelles perspectives de recherche concernant le sujet que vous venez de traiter.
Quoi et comment présenter votre projet oralement ?
Quelques recommandations pour le jour de la présentation orale de votre travail :
Comment je dois présenter en 5 mn, oralement mon travail et dire l’essentiel ? Je dois insister sur quoi ?
• Rappeler la problématique
• Rappeler les hypothèses de recherche
• C’est quoi l’objectif de votre recherche ? le travail a été réalisé pour montrer (ou démontrer) quoi ?
• Compte-rendu de l’enquête de terrain : c’est quoi l’outil utilisé ? Où et avec qui vous avez effectué l’enquête ? Comment vous l’avez réalisée ? Quelles difficultés vous avez rencontré ? Donner et commenter juste quelques résultats obtenus.
• Une réflexion personnelle (commentaire personnel) sur le travail effectué : satisfait ? Qu’est-ce qui reste à réaliser ? Hypothèses confirmées ? Non confirmées ? Objectif atteint ? (atteint à 50% ?)…..
Notes importantes:
1- Les étudiants qui ont travaillé en binôme doivent être présents tous les deux lors de la présentation orale. L’évaluation se fera de manière individuelle. L’étudiant absent ne sera pas noté.
2- Tout travail non personnel (anciens travaux de master, travaux pris de Google ou autres), ne sera pas pris en compte et donc non corrigé.
3- Les travaux personnels, les enquêtes originales, l’effort, seront récompensés.
Bon courage
- Comment réaliser un mémoire ?
Comment réaliser un mémoire ?
- 1.1-différencier la méthodologie de la démarche:La méthodologie fait référence aux exigences scientifiques de la recherche.Le terme de démarche renvoie aux procédés pratiques que chacun choisira de mettre en œuvre dans son travail.1.2-c’est un mémoire, ce n’est pas donc:Un dossier, c’est-à-dire la simple compilation d’une documentation sur un thème précis, sur une pratique, ou sur une situation.
1.2-c’est un mémoire, ce n’est pas donc:
Une monographie, c’est-à-dire l’étude d’un cas isolé ou d’une situation unique.Un romanUn témoignage, c’est-à-dire la narration d’une pratique, d’une série de cas, la reprise directe d’un cahier d’observation.etc1.3-c’est un travail de recherche:Il est problématisé, c’est-à-dire que le travail engagé est la mise à l’épreuve d’une hypothèse, laquelle, sur la base d’une expérience(expérimentation), sera validée ou non.Il introduit par une bibliographie normalisée qui permettra d’étayer l’argumentation par référence à des auteurs et des publications déjà validées.1.4-c’est un mémoire professionnel, ce n’est pas donc:Une recherche théorique sans aucun lien avec une pratique,Une simple enquête sur la profession,Une réflexion sur une pratique spécialisée sans réelle expérimentation validant (ou expérience) personnelle.2.Le cadre du travail de rechercheMéthodologie: un large consensus s’est fait sur six termes incontournables, support de toute méthodologie de recherche.Thème: c’est lui qui vous permettra de définir la problématique. Il représente le domaine d’investigation de votre recherche pour lequel vous allez conduire un expérience professionnelle.La problématique: c’est la question qui précise la partie du thème que vous avez choisi de traiter. En effet, un même thème peut donner naissance à diverses questions.3- Le cadre du travail de recherche
L’hypothèse de recherche: elle correspond à la réponse anticipée que l’on apporte à la question posée. C’est la raison pour laquelle on parle d’hypothèse: elle anticipe la thèse.Les techniques de recueil de données: elle concernent tout ce qui précise la manière de procéder pour l’observation des situations expérimentales. Il peut s’agir d’entretiens, de questionnaires, d’enquêtes , de grilles et ,bien sur, de tout support, informatique.2.Structure du mémoire:
2.1-le titre: il doit être accrocheur et donner envie de lire. Très généralement, il n’est pas d’emblée. Il synthétise le travail.2.2-le sommaire: les titres des chapitres sont évocateurs. Leur lecture en continu montre la progression de la démonstration.2.3-l’introduction: c’est la justification du mémoire. Elle précise le cadre de travail, pose la problématique, énonce l’hypothèse, annonce l’organisation du mémoire. Il est conseillé de la rédiger au terme de la rédaction2.4-le corps du mémoire: c’est la présentation de votre recherche.2.5-la conclusion: la conclusion est également un espace privilégié pour aborder ce qui est en marge de la recherche. Elle vous permet donc d’élargir la réflexion, de dégager de nouvelles perspectives de travail ou de procéder à une brève autocritique.2.6-la bibliographie:2.7-un résumé: généralement d’une seule page . Il doit permettre de saisir parfaitement le contenu et l’intérêt du mémoire.3.Conseils pour la présentation d’un mémoire:
1-conseils organisationnels:1.1-organisation des différentes parties:Une introduction doit, permettre de comprendre les raisons qui vous ont conduit à choisi votre sujet;Poser avec clarté le questionnement auquel vous vous proposez de répondre;Présenter un plan;Exposer la méthode utilisée et les supports choisis.Les différentes parties doivent, comporter un titre(parlent); se terminer par une synthèse, partielle et annoncer la suite; la lecture en continue des titres et sous-titres doit offrir un fidèle de votre travail personnel.Les citation dans le texte sont toutes à référencer.La conclusion doit comporter, une synthèse du développement.
- Approches définitoire de la problématique
Approches définitoire de la problématique
La problématique :
Qu'est-ce qu'une problématique dans un travail de recherche ?
Dans un mémoire de fin d'étude, la problématique est la question à laquelle l'étudiant va tâcher de répondre. ... La problématique ne demande pas une définition d'un mot. Elle implique un travail de reformulation qui peut être sous la forme d'un paradoxe.
Comment formuler une problématique ?
1- Avant de trouver la problématique, identifier le domaine d'un problème général. Commencez par identifier un problème sur lequel vous souhaitez vous concentrer. ...
2- Se renseigner sur le problème pour définir la problématique. ...
3- Rédiger la problématique.
Comment élaborer une problématique pertinente ?
Il convient tout d’abord de revenir sur ce qu’est une problématique. Le Larousse en donne la définition suivante :
Une problématique est l’ « ensemble des questions, des problèmes concernant un domaine de connaissances ou qui sont posés par une situation. »
Une problématique est donc un ensemble de questions qui s’applique à un domaine particulier. Si plusieurs interrogations jaillissent face à votre thématique d’étude, la problématique du mémoire doit venir synthétiser ces interrogations pour formaliser une réflexion plus globale.
Plusieurs paramètres entrent en jeu afin d’attester de la validité d’une problématique :
· Une bonne problématique met en lien différents concepts.
Par exemple : La motivation des salariés en entreprise repose-t-elle sur des leviers financiers ?
Dans ce cas, trois notions principales sont en jeu : l’environnement de l’entreprise, les théories de la motivation salariale, les procédés d’intéressements financiers.
· Une bonne problématique doit être simple, précise, concise et cohérente. Il ne s’agit pas de faire une phrase de dix lignes. Les concepts doivent être clairement posés dans la problématique mais seront définis dans l’introduction.
· Une problématique pertinente peut être rédigée sous forme de question fermée (à laquelle on peut répondre par oui ou par non). En effet, le but de la problématique est de confirmer ou d’infirmer des hypothèses de recherche. Si on peut répondre oui ou non à la question posée, il sera plus simple d’y répondre et d’y apporter des nuances comme dans l’exemple précédent.
· Une bonne problématique doit être originale sans être insolvable. En effet, il faut trouver le juste milieu entre banalité, généralité et innovation, originalité.
Une problématique trop banale sera sanctionnée car vous n’apporterez rien au progrès de la discipline. Par ailleurs si le sujet est trop général, vous serez confrontés à une masse d’informations impossible à traiter.
De même si la problématique est trop originale, vous manquerez de matière pour traiter votre sujet.
· Une problématique ne se limite pas nécessairement à une seule question. Si la problématique se rédige en une interrogation elle relève d’un questionnement. Or ce questionnement met en lumière différentes interrogations qu’il convient de souligner et d’indiquer notamment dans l’introduction.
Les étapes à suivre :
S’organiser
Qu’est-ce qu’un mémoire ?
Qu’est-ce qu’un rapport de stage ?
Le planning du mémoire
L’organisation du travail – la gestion du temps
Les compétences nécessaires à la réussite du mémoire
Formaliser
Comment choisir son sujet de mémoire ?
Comment élaborer une problématique pertinente ?
Comment construire un plan de mémoire cohérent ?
Comment construire un plan de rapport de stage ?
Comment trouver les sources documentaires ?
Trier les information
Synthétiser un document - faire des fiches de lecture
Méthodologie du mémoire de recherche
La phase empirique : comment construire un questionnaire de mémoire universitaire ?
La rédaction du questionnaire de mémoire
Rédiger
ü Les clés d’une bonne introduction
ü Les clés d’une bonne conclusion
ü Quelques règles de syntaxe et d’orthographe
ü Optimisez le style académique de votre document
ü Citations, paraphrase, plagiat
ü Liste des connecteurs logiques
ü Conseils pour rédiger les titres
ü La bibliographie : les normes à respecter
Présenter
ü La mise en page du mémoire
ü La relecture du mémoire
ü Préparer la soutenance orale
ü Conseils pour la soutenance orale le jour J
ü Déroulement de la soutenance orale
- Les options de la recherche scientifique :
Les options de la recherche scientifique :
L'étude quantitative permet de rassembler des informations généralisables à l’ensemble de la population alors que l'étude qualitative a pour objectif d’étudier les comportements et motivations. Une étude qualitative ne cherche pas à extrapoler les résultats obtenus à l’ensemble de la population, il n’y a donc pas de notion de représentativité, mais on recherche à aller en profondeur et à comprendre les attitudes et sentiments.
· Etudes qualitatives : collecte d’informations permettant de décrire les objets en quantifiant les attitudes, les opinions et les comportements d’achat d’un échantillon représentatif. L’étude quantitative: Collecte d'informations permettant l'étude des comportements, attentes ou opinions réalisée auprès d'un échantillon de la population et dont les résultats chiffrés sont ensuite extrapolés à l'ensemble de la population étudiée.
· Une étude qualitative est une étude qui consiste à collecter et analyser des informations permettant d'expliquer des faits, des opinions, des comportements... Tant dis qu'une étude quantitative est une étude qui consiste à rechercher des informations chiffrées quantifiables et des données statistiques.
· Afin de mieux comprendre un secteur d’activités et de mieux cerner les besoins et les attentes des consommateurs, une entreprise peut décider d’effectuer une étude de marché. Pour cela, elle doit tout d’abord se demander quelle étude lui conviendrait le mieux : une étude quantitative ou qualitative ? Synthétisons les principaux points-clefs de ces deux types d’études : Forme Etude quantitative : Sondages Etude qualitative : Entretiens Objectifs Etude quantitative : Vérifier des hypothèses, mesurer des comportements, se rendre compte de la notoriété d’une marque, se mesurer à la concurrence, ... Etude qualitative : Définir des hypothèses, comprendre l’image véhiculée par une marque, rechercher des idées nouvelles pour un produit, tester un message publicitaire, ... Cible Etude quantitative : Grand groupe d’individus Etude qualitative : Echantillon, petit groupe Techniques utilisées Etude quantitative : Questionnaires, études documentaires, panels, sondages, … Etude qualitative : Entretiens, tests projectifs, … Contact Etude quantitative : Entretien au téléphone, Internet, courrier, … Etude qualitative : Face à face Questions posées Etude quantitative : Questions précises, fermées, QCM. Etude qualitative : Questions ouvertes (que pensez-vous de…) Résultats Etude quantitative : Chiffres, statistiques afin d’établir une synthèse.
- Gestion du temps dans un travail de recherche
Gestion du temps dans un travail de recherche
Toute bonne planification ne porte fruit que si l'organisation concoure à la réaliser. Mais il faut se rappeler que la véritable gestion du temps exige plus que la simple combinaison de techniques favorisant l'efficacité. Sans un profond changement d'attitude face au temps, les suggestions d'organisation ci-dessous risquent d'être mal intégrées dans le quotidien. On doit organiser son travail et son environnement de façon à favoriser l'exécution quotidienne de ses projets. Pour ce faire, il faut :
1. Réduire ses pertes de temps
Pour éliminer ou réduire ses pertes de temps, il faut d'abord en identifier les causes. On peut donc partir de son relevé détaillé d'emploi du temps et identifier précisément ses activités superflues : Les activités routinières qu'on pense immuables mais qui se prolongent inutilement; les interruptions de toute sorte qui détournent constamment des énergies vers des occupations improductives ou de faible rendement (apprendre à dire non)
2. Utiliser des techniques pour gagner du temps
Après avoir éliminé les pertes de temps, prendre l'habitude d'établir un plan de travail pour chaque activité et de fixer un échéancier. Identifier les tâches qu'on peut confier à d'autres. Investir son temps sur les activités qui auront le meilleur rendement. Classez dans une chemise les choses à faire le lendemain, la semaine suivante. Placez dans votre agenda le moment où vous devez retourner vos devoirs. Trouvez une place pour chaque chose. S'il s'agit d'une activité prioritaire, il faut appliquer la maxime : «Ne jamais remettre à demain ce qu'on peut faire aujourd'hui». Lorsqu'on a de la difficulté à se mettre à la tâche, on doit s'interroger sur les désavantages de la remise à plus tard et sur les avantages de l'exécution immédiate. La temporisation est souvent associée aux tâches difficiles, complexes et désagréables; aussi faut- il recueillir de l'information sur le travail, en planifier les étapes et s'astreindre à quelques minutes de travail par jour pour diminuer l'anxiété.
On ne doit pas hésiter à préciser la tâche en s'informant auprès du professeur ou d'un autre étudiant. Il se peut que la tâche effraie parce qu'elle a été mal évaluée. On peut aussi se fixer des objectifs plus restreints qu'on se sent capable de réaliser au lieu de tout laisser tomber. Par contre, si cette tâche n'est pas une priorité, alors il est tout indiqué de la remettre indéfiniment. Ne jamais perdre quelques minutes sous prétexte que ça ne vaut pas la peine de commencer. Dans le domaine de la mémorisation, entre autres, on sait qu'il vaut mieux 10 fois 5 minutes qu'une fois 50 minutes.
Enfin, il importe de réfléchir avant d'entreprendre une tâche. Il est bon de se poser les questions suivantes avant de se lancer, impulsivement ou par routine, dans l'action. Est-ce que la tâche correspond à un objectif prioritaire? Puis-je m'en dispenser? Quelle est la meilleure façon d'utiliser mon temps maintenant? La tâche à accomplir (travail requis et importance) mérite-t-elle le temps que je veux y consacrer et l'énergie que j'y investirai?3. Prévoir des conditions matérielles facilitantes
Pour que les techniques de gestion puissent s'appliquer, il faut prévoir des conditions matérielles facilitantes. Pour une période d'étude, il faut s'assurer d'avoir réuni les livres et les outils nécessaires, il faut se constituer un environnement propice à la concentration.
Adopter une attitude positive
1. Prendre conscience de la nature du temps
Le premier pas à franchir vers l'adoption d'une attitude positive face à la gestion du temps, c'est la prise de conscience de ce qu'est le temps pour soi.
Qu'est-ce que le temps?Une ressource fondamentale : Le temps est une ressource fondamentale car l'utilisation efficace qu'on en fait a un impact sur:
· le succès: elle maximise le rapport résultats obtenus/énergies dépensées;
· la santé: elle minimise les facteurs de stress;
· le bonheur: elle permet de se réserver du temps pour soi, pour développer et pour savourer ses rapports avec les autres.
Une ressource limitée : Ce n'est pas tant le temps qui est limité, mais nous qui ne pouvons consacrer qu'une partie de nos énergies à certaines activités. Au bout d'un moment, il faut nous interrompre pour refaire le plein d'aliments, de repos, d'affection, de plaisir. Nos énergies sont renouvelables mais non inépuisables. Ne pas tenir compte de cette réalité nous amène au même excès à l'égard du temps que le progrès nous a amené à traiter la nature, nous en faisons le même usage irréfléchi comme si on le croyait tout aussi illimité. D'où les erreurs de planification, les échéances toujours trop rapprochées, les urgences qui arrivent toutes ensemble, ce qui crée des conditions propices aux échecs.Une ressource non modifiable : Les expressions « gagner » ou « perdre » du temps mettent sur de fausses pistes. Puisqu'on dispose de la totalité du temps disponible, ces expressions n'ont pas de sens. Le temps est imperturbable et non modifiable. On ne peut que changer d'attitude à son égard, qu'en faire un bon ou un mauvais usage.
Une ressource négligée : Aussi est-il important de prendre conscience qu'on ne peut pas tout faire. Il faut choisir ce qui est le plus important pour la réalisation de ses objectifs. Choisir les choses à faire est d'une importance capitale dans la gestion du temps et ce choix implique la décision de ne pas faire certaines choses. On emploie un temps fou à faire des choses inutiles ou insatisfaisantes qui ne contribuent guère à l'atteinte de nos objectifs.
Une ressource gaspillée : Différentes recherches menées en Amérique du Nord démontrent que les gestionnaires perdent, en moyenne, neuf heures par semaine. Il n'est probablement pas exagéré d'appliquer ces résultats à la moyenne des étudiants. Cela représente environ: 36 heures par mois; Pourquoi ce gaspillage? Parce qu'en général on ne reconnaît pas l'importance du temps. On fait comme s'il n'avait aucune valeur.
Une ressource qui se gère : La différence fondamentale entre les gens qui réussissent et ceux qui échouent réside souvent dans l'usage qu'ils font de leur temps. Ce qui importe, ce n'est pas le nombre d'heures que l'on consacre à un travail, mais bien ce que l'on fait pendant ces heures. En gérant bien son temps, on peut travailler pendant le même nombre d'heures qu'auparavant et obtenir de meilleurs résultats; pendant moins d'heures et atteindre les mêmes résultats; ou pendant plus d'heures et arriver à des résultats exceptionnels. Avant de songer à utiliser quelques techniques pour épargner du temps, on doit être conscient de la réalité et de l'importance du temps dans sa vie. Il ne sert à rien d'apprendre des trucs afin de courir plus vite si c'est pour courir après plus de lièvres qu'on ne peut en attraper! L'utilisation de son temps c'est, somme toute, l'utilisation de sa vie.
Cette mise en relief de la place du temps dans votre vie devrait permettre de prendre conscience de toute l'importance qu'elle doit revêtir... vitale.2. Développer les convictions nécessaires
Lorsqu'il s'agit de remplacer de vieilles habitudes par de nouvelles, il faut éviter de sous-évaluer les efforts nécessaires. Il faut s'imposer la discipline personnelle nécessaire à l'acquisition de nouvelles habitudes. Pour cela, on doit être convaincu que le temps est notre actif le plus précieux. Il faut aussi être convaincu qu'il est possible d'améliorer la gestion de son temps. L'efficacité et le succès personnels sont une question d'attitude. Principalement, il faut assumer la responsabilité de sa vie en cessant d'attribuer aux autres ou à des facteurs indépendants de sa volonté les difficultés que l'on rencontre. Bien qu'il y ait toujours des événements imprévisibles, on peut contrôler la majeure partie de son temps. Il faut se prendre en main et être convaincu qu'il est possible de mieux gérer son temps.
L'autodiscipline
Il n'en tient donc qu'à soi. Notre attitude est la clé du succès en gestion du temps. C'est notre attitude qui détermine ce que l'on peut et ne peut pas faire de son temps. Les étudiants qui réussissent à bien gérer leur temps ont, au préalable, développé une attitude positive et optimiste face à leur capacité de le gérer: ils sont convaincus que la gestion de leur temps dépend d'eux et d'eux seuls. Et ils agissent en conséquence!
Obstacles au changement
Bien que convaincus de la pertinence d'améliorer leur gestion du temps, certains ne réussissent jamais à modifier substantiellement leurs habitudes. C'est qu'une bonne gestion du temps peut faire perdre certains bénéfices secondaires.
Quels avantages tire-t-on d'une mauvaise organisation de son temps?
Se donner l'impression d'être stimulé pour ne pas voir son manque de motivation?
Utiliser l'angoisse du retard pour se donner l'illusion d'une vie intense?
Éviter certaines responsabilités?
Fuir des relations interpersonnelles difficiles?
Éviter une évaluation réelle en ne se donnant jamais tout le temps nécessaire pour étudier ou pour faire un travail?
Se donner une identité de personne affairée?
S'accommoder de ne pas réfléchir sous prétexte que c'est une perte de temps?
Attirer l'attention, mobiliser l'entourage.
Donc, il faut rester vigilant et vérifier si, par nos solutions, on ne s'attaque pas seulement aux symptômes... pour ne pas en voir la cause.
3. Se consacrer du temps pour réfléchir
Il y a également d'autres obstacles importants qui peuvent saper nos efforts d'organisation: plusieurs se sentent contraints par un horaire trop serré. Ils ont la désagréable sensation que la grille planifiée à l'agenda réduit leur liberté d'action et qu'ils n'ont plus le contrôle de leur temps. C'est que, le plus souvent leur seule expérience de planification se réduit à mettre à l'agenda les rendez vous et les calendriers de travail fixés par des contraintes extérieures. Cela assure, de facto, aux exigences extérieures une priorité dans l'attribution de son énergie. Il faut reprendre le contrôle de sa vie en prenant également des rendez vous avec soi même, en se réservant farouchement des heures pour réfléchir, planifier, anticiper, créer même. Ce sont les activités les plus importantes qu'on omet le plus souvent de placer dans son agenda.
Prendre conscience de ses tendances naturelles
Reconnaissez-vous dans la liste ci-dessous les obstacles liés aux tendances naturelles auxquelles vous cédez le plus souvent? On préfère généralement la sécurité du présent à l'incertitude de l'avenir. Aussi fait-on passer d'habitude:
les résultats immédiats avant la planification visant des résultats à long terme;
l'action qui donne l'impression d'accomplir quelque chose, avant la réflexion;
ce qui nous plaît avant ce qui nous déplaît;
ce qui va vite avant ce qui prend beaucoup de temps;
ce que nous savons faire avant ce qui est nouveau pour nous;
ce qui est urgent avant ce qui est important;
ce que d'autres nous imposent avant ce que nous avons choisi;
ce qui est noté à une heure donnée sur notre agenda avant des travaux pour lesquels nous n'avons pas prévu de temps;
les interrupteurs avant nos propres priorités;
l'ordre d'apparition des problèmes avant leur ordre d'importance.
Si on ne parvient pas à modifier ses habitudes de planification ou à respecter ses résolutions de changement, il serait probablement sage de faire une évaluation des résistances réelles qu'on éprouve face à ces changements.
Se fixer des priorités
1. Déterminer ses objectifs de vie
La gestion du temps a essentiellement pour but d'aider à réaliser ses objectifs dans la vie. En d'autres termes, on gère efficacement son temps lorsqu'on l'occupe à réaliser les objectifs qui nous tiennent à cœur. L'hyperactif réussit à faire plusieurs activités mais il s'éparpille s'il néglige ses principaux objectifs de vie. Connaissez-vous vos objectifs de vie immédiats et lointains? Avez-vous déterminé votre plan de carrière? En connaissez-vous les étapes intermédiaires et savez-vous quel but viser actuellement? Réalisez- vous vos autres objectifs personnels sur les plans physique, mental, affectif et social? Si vous n'avez pas d'objectifs, vous rencontrerez des gens qui en auront pour vous! Se fixer des objectifs existentiels permet de reprendre possession de sa vie. « Les crises existentielles se manifestent quand ce que l'on veut vraiment ne trouve pas sa place dans la vie que l'on mène ». Y a-t-il des aspects de votre vie auxquels vous négligez d'accorder du temps? Physique, Familial , Social , Spirituel , Financier , Intellectuel. Pourtant, chacun de ces aspects contribue à maintenir l'équilibre global de la personne et à réduire le niveau de stress. Une fois ses objectifs personnels bien identifiés, il est plus facile d'opérer le changement d'attitude nécessaire. Ainsi, cessez de dire « je n'ai pas le temps », expression qui reflète qu'on est l'objet de contraintes extérieures sur lesquelles on n'a pas de prise. De penser et d'affirmer plutôt que « ceci n'est pas dans mes priorités pour l'instant » indique qu'on assume le choix de ne pas se consacrer à une activité parce qu'on en privilégie d'autres, plus importantes pour soi, dans les limites de temps disponible. Cependant, une telle attitude n'est possible que si on a, en fait, des objectifs bien clairs pour orienter ses choix quotidiens.
2. Identifier les règles du jeu
Vous avez sans doute pour objectif principal d'obtenir votre diplôme universitaire. Mais pour que votre diplôme vous garantisse les meilleures chances de succès, vous devez identifier les règles qui ont cours dans le domaine de travail que vous visez. La prochaine étape consiste à identifier les critères et les exigences qui vont conditionner l'atteinte de votre objectif. Si vous êtes déterminé à aller sur le marché du travail dès l'obtention de votre diplôme, il vous faut savoir quels sont les critères d'évaluation des candidats lors des entrevues. Les notes seront peut-être moins déterminantes par rapport à d'autres caractéristiques telles que : L'assurance et la confiance en soi; Une certaine expérience de travail; La capacité de diriger une équipe; La capacité de coordonner un projet; Une bonne connaissance des langues etc. Le programme académique seul ne couvre pas tous ces aspects de la formation. Il faut donc prévoir des activités parascolaires telles qu'un travail à temps partiel, un emploi d'été le plus pertinent possible, une participation aux organisations étudiantes ou à d'autres organismes qui permettent de développer ce genre d'habilités.
3. Prioriser les activités appropriées
Une fois qu'on a déterminé des objectifs et les exigences pour les atteindre, il reste à se fixer des priorités. Pour ce faire, il faut :
Identifier toutes les tâches à effectuer et en écrire la liste;
Décider quelles sont les tâches à faire en premier et lesquelles peuvent attendre;
Déterminer un plan d'action, c'est-à-dire la façon de les atteindre.
La raison d'être d'une telle liste est de s'assurer que toutes les tâches, toutes les activités et tous les projets ont été envisagés et que ce que l'on juge être le plus important et le plus urgent sera effectivement traité en priorité. Pour marquer vos priorités sur la liste, regroupez vos tâches en trois catégories :
tâches urgentes, à exécuter dès maintenant
tâches moins urgentes
tâches qu'on peut éventuellement remettre à plus tard ou ne pas réaliser du tout.
La façon dont on définit ses priorités est souvent influencée par les autres personnes ou par des événements extérieurs :
Une urgence ou un délai à respecter;
Une personne pour qui une tâche doit être effectuée;
Des règles et procédures en usage dans les cours comme le rapport hebdomadaire ou les examens à intervalles réguliers;
Une tâche obligatoirement préalable à d'autres tâches moins prioritaires de la liste.
Nos propres préférences peuvent aussi influencer nos priorités. Les critères de définition des priorités sont : l'urgence et l'importance relatives d'une tâche donnée par rapport aux autres tâches.
Outil pour enquête de terrain : Grille d’observation (Exemple) :
1. toujours
2. des fois
3. rarement
4. jamais
I. L’intérêt de l’enseignant pour son cours :
L’enseignante
1
2
3
4
Utilise un français compréhensible
Fait preuve d’humour
Cherche à donner l’envie d’apprendre
Sait solliciter l’attention des apprenants
Donne son point de vue personnel
II. Clarté :
L’enseignante
1
2
3
4
Illustre par des exemples pour clarifier l’idée et aider les apprenants
Définit les termes complexes et donne des explications du vocabulaire
Utilise un langage clair et facile à comprendre
Explique clairement les consignes
Ecrit clairement au tableau
III. Interactions :
L’enseignante
1
2
3
4
Encourage les élèves en les interrogeant personnellement
Suscite l’interaction entre les élèves
Evite les critiques négatives
IV. Organisation des cours :
L’enseignante
1
2
3
4
Met en évidence l’objectif de la séquence de cours
Présente le cours de manière organisée
Donne des documents de travail
Fait un résumé de ce qui a été appris en fin de séquence
Alterne entre travail collectif, en binômes ou individuel
V. Aspect cognitifs :
L’enseignante
1
2
3
4
Sait gérer la classe et discipliner ses apprenants
Sait écouter et se monter patient avec l’apprenant
Utilise différents types de questions (ouvertes, fermées, simple) reformule bien la question en cas d’incompréhension
Centre son attention sur l’apprenant
Ne se montre pas comme détenteur de savoir
VI. Utilisation di matériel pédagogique :
L’enseignante
1
2
3
4
Utilise des cassettes, audio, vidéo, cd
Utilise le tableau à bon escient
Utilise des documents authentiques
Utilise la méthode préconisée
VII. Respect de l’approche méthodologique préconisée :
L’enseignante
1
2
3
4
Respecte la méthodologie du manuel, l’approche communicative
Propose des activités communicatives
Fait preuve de créativité autour de cette approche
Inscrit le travail dans une perspective interculturelle
VIII. Attitudes des apprenants :
L’enseignante
1
2
3
4
Participent activement aux cours
Sont motivés par le cours
Posent des questions
S’expriment clairement en langue française
Comment utiliser une grille d’observation?
Instructions d’utilisation
Pour faciliter le travail, un exemple de grille d’observation a été élaboré. Cet exemple peut inspirer l’élaboration d’une nouvelle grille, être utilisé intégralement ou être adapté. La grille d’observation proposée comporte plusieurs pages recto-verso bien aérées de manière à faciliter la prise de notes.
Identification
La grille débute par une section d’identification. L’observateur peut alors inscrire le lieu ainsi que le moment et la durée de l’observation. Il est suggéré également de noter le moment de la journée et le jour de la semaine où se déroule la séance d’observation.
Situations à observer
Dans la grille, l’observateur est appelé à décrire les situations qu’il repère au moment de l’observation en termes de « fréquence observée » et de « gravité des conséquences ». Bien entendu, les situations proposées ne sont pas exhaustives. Ainsi, un espace est réservé à la toute fin de la fiche pour signaler d’autres situations qui pourraient constituer un problème de sécurité sur le territoire.
Il est possible que les espaces prévus à la grille soient insuffisants. Il faut donc prévoir du papier supplémentaire de même qu’un support rigide tel un livre ou une planchette pour faciliter la prise de notes.
Fréquence observée
S’il est souhaitable de porter un jugement sur la fréquence d’une situation en fonction de ce qui est observé, il arrive que cette situation se prête difficilement à un simple calcul de fréquence. C’est pourquoi la grille présentée suggère de considérer la fréquence en termes qualitatifs : une situation est peu ou très peu, fréquemment ou très fréquemment observée.
Pour rendre compte de l’évaluation de la fréquence, un encadré accompagne chacune des situations de la grille. La légende pour la fréquence est la suivante :
Ø Aucune situation de ce type n’a été observée
● Situation peu ou très peu observée
●● Situation fréquemment observée
●●● Situation très fréquemment observée
NA Ne s’applique pas
Il revient à chaque observateur de définir ses critères de fréquence. Idéalement, ces critères sont discutés en équipe ou entre les observateurs avant le début des observations ou, à tout le moins, après l’activité au moment de la synthèse des observations.
Gravité des conséquences
Rappelons que l’importance d’une situation problématique n’est pas uniquement déterminée par sa fréquence. Elle l’est également par la gravité des conséquences qu’elle entraîne ou le risque qu’elle représente pour la sécurité des personnes. Ainsi, l’observateur est invité à donner son avis sur la gravité des conséquences associées à chacune des situations observées. L’activité d’observation s’enrichit d’une activité de réflexion et de jugement sur les situations observées.
La gravité des conséquences fait référence aux effets négatifs des situations sur la sécurité des personnes de même qu’aux nuisances engendrées. Il est important de souligner que les conséquences découlant d’une situation problématique peuvent être influencées par la fréquence de la situation. Par exemple, un seul détritus sur le trottoir ne semble pas un problème très grave. Par contre, un amoncellement de détritus sur la voie publique peut avoir une incidence sur la sécurité des personnes : chutes, mauvaises odeurs, insalubrité, mauvaise image du quartier, etc. Dans tous les cas, on doit garder à l’esprit que la perception de la gravité des conséquences peut être différente d’un observateur à l’autre. L’étape de mise en commun des observations et des réflexions permettra ensuite aux observateurs de s’entendre sur les constats.
La grille d’observation est disponible dans le site internet Centre québécois de ressources en promotion de la sécurité et en prévention de la criminalité (www.crpspc.qc.ca) en format MS Word à l’adresse suivante :
http://www.crpspc.qc.ca/default.asp?fichier=outils_diagnostic.htm
GRILLE D’OBSERVATION D’UN site au regard de sa sécurité
Nom ou numéro du secteur ________________
Date de la séance d’observation : ______/ ______/ ______
Emplacement ou adresse du site : __________
Nom de l’observateur : ____________________
Durée de l’observation : ___________________
Moment de la journée : matin après-midi soir
Jour de la semaine :
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi
Nombre de situations observées : compter et inscrire le nombre de situations ou d’éléments observés.
Échelle d’évaluation de la fréquence de la situation observée
Ø Aucune situation de ce type n’a été observée
● Situation peu ou très peu observée
●● Situation fréquemment observée
●●● Situation très fréquemment observée
NA Ne s’applique pas
Échelle d’évaluation de la gravité perçue des conséquences
Ø Aucune conséquence grave
● Conséquences peu graves
●● Conséquences graves
●●● Conséquences très graves
NA Ne s’applique pas
Rappel des situations à observer
Situations ayant un potentiel de nuisance
A
Le comportement agressif ou dérangeant de personnes itinérantes ou sans abri.
B
Des rassemblements de jeunes ou d’adultes dont les comportements sont dérangeants (tapage, intimidation, etc.).
C
Des comportements déplacés ou intimidants de la part d’individus.
D
Les répercussions sur le milieu des activités de vente ou de consommation de drogues.
E
Les répercussions sur le milieu des activités de prostitution.
F
La malpropreté de certains lieux (déchets, seringues, éclats de verre, etc.).
G
Des graffitis sur les murs des bâtiments ou sur les équipements.
H
D’autres signes de vandalisme sur des immeubles, des bâtiments ou des équipements (abribus, bancs, appareils de jeu, cabines téléphoniques, lampadaires, etc.).
I
D’autres signes de vandalisme dans les espaces publics extérieurs (arbres, aménagements paysagés, etc.).
J
Des immeubles abandonnés ou très détériorés.
K
Un éclairage insuffisant ou défectueux (luminaires cassés ou hors d’usage) dans les lieux publics.
Autres situations observées :
Notes d’observation
A. Le comportement agressif ou dérangeant de personnes itinérantes ou sans abri.
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes d’observation
B. Des rassemblements de jeunes ou d’adultes dont les comportements sont dérangeants (tapage, intimidation, etc.).
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes d’observation
C. Des comportements déplacés ou intimidants de la part d’individus.
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes d’observation
D. Les répercussions sur le milieu des activités de vente ou de consommation de drogues.
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes d’observation
E. Les répercussions sur le milieu des activités de prostitution.
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes d’observation
F. La malpropreté de certains lieux (déchets, seringues, éclats de verre, etc.).
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes d’observation
G. Des graffitis sur les murs des bâtiments ou sur les équipements.
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes d’observation
H. D’autres signes de vandalisme sur des immeubles, des bâtiments ou des équipements (abribus, bancs, appareils de jeu, cabines téléphoniques, lampadaires, etc.).
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes d’observation
I. D’autres signes de vandalisme dans les espaces publics extérieurs (arbres, aménagements paysagés, etc.).
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes d’observation
J. Des immeubles abandonnés ou très détériorés.
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes d’observation
K. Un éclairage insuffisant ou défectueux (lumières cassées ou hors d’usage) dans les lieux publics.
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes d’observation
Autre situation observée.
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes d’observation
Autre situation observée.
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes d’observation
Autre situation observée
Nombre de situations observées
(facultatif)
Fréquence observée
Votre perception de la gravité des conséquences
Ø ● ●● ●●● NA
Ø ● ●● ●●● NA
Décrire la ou les situations observées (lieux ou moments problématiques, etc.).
Expliquer en quoi les conséquences observées ou anticipées vous semblent problématiques (insécurité, nuisance, risque pour les personnes, etc.).
Notes complémentaires
Outils d’enquête : Le QUESTIONNAIRE
Qu’est-ce qu’un questionnaire ? Instrument de recherche essentiel, le questionnaire permet de recueillir de façon systématique des données empiriques et, ainsi, de confirmer la validité des hypothèses formulées. Il doit être standard (mêmes questions pour tous), administré dans les mêmes conditions et comporter deux types de questions : celles qui se rapportent au contenu et celles qui ont trait à la forme. Ces questions peuvent être fermées, semi-fermées et plus ouvertes.
Réf : Dictionnaire de didactique de français, J.P.Cuq
QUESTIONNAIRE A CHOIX MULTIPLES
Exemple d’un questionnaire
(Aux enseignants de la faculté de médecine, à propos du niveau du français)
Merci d’avance de répondre de manière anonyme à ce questionnaire dont les réponses contribueront à la réalisation d’un mémoire de fin de cycle : licence de langue française à l’université de Tlemcen.
Informations sur l’enquêté(e) :
-Sexe :
Féminin
Masculin
-Lieu d’exercice :
Tlemcen
Oran
Autre, à préciser….
-Ancienneté dans le poste :
De 2 à 6 ans
De 6 à 10 ans
10 ans et plus
-Spécialité :
Cardiologie
Biochimie
Autre, à préciser…
QUESTIONS
1)-Pensez-vous qu’on pourrait enseigner la médecine avec une langue autre que la langue française ?si oui, laquelle et dites pourquoi ?
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
2) Les étudiants de 1èreannée éprouvent beaucoup de difficultés dans la compréhension de l’oral, lors d’un cours magistral. D’après vous, quelles en sont les raisons ?
................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
3) Pensez-vous que vos étudiants de 1ère année arrivent à comprendre toute votre intervention ?
OUI
NON
-quel serait d’après vous, le pourcentage de réceptivité :
25 %
50 %
70 %
100 %
4) Pensez-vous qu’un enseignement spécifique en français médical pourrait résoudre le problème ?
OUI
NON
5) Comment imaginez-vous l’organisation des cours de français spécifique :
Des cours de français du début septembre au 15 octobre ?
Prévoir des modules de français dans le cursus ?
Imposer une formation de français uniquement pour les étudiants faibles ?
Exiger un niveau de français avant de s’inscrire en médecine ?
Autre à préciser
6) D’après vous, à quel niveau situez-vous les difficultés des étudiants ? Classez-les de 1 à 4 :
La compréhension de l’écrit.
La compréhension de l’oral.
La production de l’écrit.
La production de l’oral.
7) Comment réagissez-vous devant des étudiants qui ont des difficultés en français ?
Vous reformulez autrement les explications ?
Vus comprenez qu’ils traînent des tares depuis leur scolarité antérieure ?
Ils sont censés être bon en français ?
Autre à préciser……
8) D’après vous, les faiblesses se situent au niveau de :
la compréhension des polycopiés ?
la compréhension du cours magistral ?
la synthèse des informations à réaliser lors d’un examen ?
Autre à préciser……
9) Quelles recommandations personnelles pourriez-vous faire pour parer à ce problème ?
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………….
Nous vous remercions infiniment de votre collaboration et de votre compréhension.
- L’outil de l’enquête : le questionnaire : Exemplification : dépouillement et analyse
L’outil de l’enquête : le questionnaire : Exemplification : dépouillement et analyse
A l’enseignant : Je vous soumets ce questionnaire, nécessaire à l’aboutissement d’un travail de recherche sur « l’enseignement de la compréhension de l’écrit en 5e année primaire »
Vous êtes priés de répondre à ce questionnaire avec fidélité.
Sexe
Ancienneté
Formation
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
1-La compréhension de l’écrit vise la compétence de :
Comprendre une thématique.
Comprendre le fonctionnement d’un type de discours.
Comprendre le fonctionnement de la langue.
Reconstituer un sens à partir d’éléments visibles du texte.
Autre(s)……………………………………………………………………………………….
2- Est-ce que le volume horaire de la séance « la compréhension de l’écrit » est suffisant pour les apprenants du 5e AP ?
OUI
NON
- Si non, que proposeriez-vous ?...............................................................................................
…………………………………………………………………………………………………..
3. Que pensez-vous des textes proposés dans le manuel du 5e AP ?
Trop fort pour les élèves.
Acceptables.
Intéressants.
Peu intéressants.
4. Quels autres supports complémentaires utilisez-vous pour enseigner la compréhension de l’écrit ?
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
5. Utilisez-vous d’autres supports en dehors du manuel scolaire du 5e AP ?
Oui
Non
Si oui, pourquoi ?......................................................................................................................
……………………………………………………………………………………………..
6. Les thèmes abordés dans les textes du manuel sont :
Connus par l’élève ?
Susceptibles de l’être ?
7. Quelles sont les difficultés que vos élèves rencontrent en compréhension de l’écrit ?
Elles sont d’ordre :
Syntaxique
Lexical
Sémantique
Structure du texte
Typologique
Autre (s)…………………………………………………………………………………………
8. Quels sont, selon vous, les facteurs qui favorisent ces difficultés?
PROPOSITIONS
OUI
NON
Méthodes d'enseignements
Textes non adaptés à l’âge des apprenants
Thèmes démotivants
Registre de langue supérieur
9-Comment procédez-vous lors d’une séance de la compréhension de l’écrit ?
D’abord une lecture magistrale.
Une lecture silencieuse.
Faire lire le texte expressivement par les élèves.
Autre(s) ……………………………………………………………………………………………..
10-Posez des questions et récoltez les réponses par groupes d’élèves ?
Oui Non
11. Quelle est la méthode la plus efficace dans l'enseignement/ apprentissage de la compréhension de l’écrit en 5e AP ?
La méthode traditionnelle (explication du texte)
L'approche par compétences
L’approche actionnelle
12-Pensez-vous que l’approche par compétence donne plus de résultats dans la compréhension de l’écrits ?
Oui Non
I. Questionnaire :
Ce questionnaire est adressé aux enseignants de la langue française de la 5e année primaire. Il a été proposé à 10 institutions scolaires réparties à travers la ville de Tlemcen.
Les objectifs du questionnaire reposent essentiellement sur les points suivants :
-Connaitre l’avis des enseignants à propos des objectifs et des compétences de la compréhension écrite.
-S’informer sur les documents et les supports qu’utilisent les enseignants pendant une séance de la compréhension de l’écrit, ainsi que le volume horaire de cette séance.
-S’informer sur les difficultés rencontrées par les apprenants en compréhension de l’écrit.
-Savoir les méthodes d’enseigner la compréhension de l’écrit.
A l’aide de ce questionnaire, notre objectif est de recueillir des données permettant d’apporter plus de données sur la situation.
Echantillonnage et passation du questionnaire :
10 exemplaires du questionnaire ont été distribués à quelques enseignants de la Wilaya de Tlemcen.
La répartition fut répartie comme suit :
Les P.E.P de moins de 5 ans d’expérience : contractuels ou suppléantes, tous titulaires d’une licence en français.
Les P.E.P de plus de 5 ans d’expérience sont titulaires de poste.
Les P.E.P de plus de 25 ans d’expérience ne sont pas titulaires d’une licence de français.
Le dépouillement :
Comme nous l’avons déjà mentionné, notre questionnaire se compose de 4 parties : la 1ere sert à dégager les objectifs et les compétences de la compréhension écrite, la deuxième sert à définir les documents et les matériaux utilisés pour enseigner la compréhension de l’écrit, ainsi que le volume horaire si il est suffisant. La troisième sert à définir les types de difficultés qu’affrontent les apprenants, et la quatrième sert à connaitre les méthodes d’enseigner la compréhension de l’écrit.
I. Objectifs et compétences de la compréhension de l’écrit:
Cette première partie s’articule autour de 1 item, les enseignants définissent les compétences qu’elle vise la compréhension de l’écrit, est ce qu’elles sont langagières, lexicologiques, culturelles ou pragmatiques ?
I.I Compétences de la compréhension écrite
80% des enseignants considèrent que la compréhension de l’écrit vise la compétence de reconstituer un sens à partir d’éléments visibles du texte, reconstituer un sens à partir des illustrations, titre, auteur…. Cette préconception concerne la majorité des P.E.P nouveaux et anciens dans l’enseignement.
40% des enseignants considèrent que la compréhension écrite vise la compétence de comprendre une thématique, comprendre le thème d’un texte, comprendre le fonctionnement d’un type de discours, comprendre le fonctionnement de la langue.
Certains enseignants ont considéré qu’elle vise la compétence de faire des hypothèses globales pour trouver enfin les réponses de ses hypothèses, avoir un stock syntaxique et même une culture générale.
II. Documents et matériaux
Cette seconde partie du questionnaire se compose de cinq items.
Le premier concerne les textes proposés dans le manuel. Le second permet d’avoir une idée sur les supports complémentaire qu’utilisent les P.E.P pour enseigner la compréhension de l’écrit. Le troisième item permet de savoir si les enseignants utilisent d’autres supports en dehors du manuel scolaire. Le quatrième s’intéresse aux thèmes abordés dans les textes du manuel, si ils sont connus par l’élève ou susceptibles de l’être, et le dernier s’informe sur le volume horaire de la séance « la compréhension de l’écrit ».
II.I Textes du manuel
On remarque que la majorité des P.E.P considèrent que les textes proposés dans le manuel sont acceptables .On remarque aussi que les enseignants ayant plus de 30 ans d’expérience trouvent que les textes sont acceptables et peu intéressants.
Un enseignant qui a 5 ans d’expérience a considéré que les textes sont trop forts pour les élèves.
A travers ces réponses on peut dire que les textes du manuel ne sont pas convenables à tous les élèves car il y a les faibles les moyens et les meilleurs, aussi il y a des élèves qui vivent dans un milieu culturel avec des parents instruits et d’autres dans les régions rurales ou les parents ne sont pas instruits.
II.II. Supports complémentaires
Ce qui nous intéresse dans les matériels pédagogiques, c’est leur rôle médiateur dans l’apprentissage de la L2. Concernant les supports utilisés pour enseigner la compréhension de l’écrit, on remarque que la majorité des enseignants utilisent des supports différents telle que les images, les objets en relation avec le thème, le dictionnaire, des coupures de journaux, des figurines, car ils trouvent que ces supports facilitent la compréhension. Cet ensemble des instruments pouvant être utilisés par un enseignant pour augmenter l’efficacité de son enseignement et par un apprenant pour augmenter l’efficacité de son apprentissage.
II.III.A propos des supports utilisé en dehors du manuel
80% des enseignants m’ont répondu par oui, dont le but de faciliter, perfectionner et améliorer la compréhension parce que parfois on trouve des textes plus intéressants que celle du manuel et certains enseignants considèrent que les textes du manuels ne sont pas à la porté de tous les élèves (on trouve dans une classe plusieurs niveaux les faibles, les moyens et les meilleurs).
II. IV. Thèmes du texte.
La majorité des enseignants trouvent que les thèmes abordés dans les textes du manuel ne sont pas connus par les élèves autrement dit que les élèves trouvent des difficultés pour comprendre les textes, tandis que 2 enseignantes qui travaillent au centre ville de Tlemcen considèrent que les thèmes sont connus par les élèves et donc on peut dire que l’environnement joue un rôle sur la construction culturelle et langagière des apprenants.
II. V .Volume horaire
70 % des enseignants considèrent que le volume horaire est insuffisant, ils proposent un horaire plus long, plus de 45 mn.
III. Difficultés de la compréhension de l’écrit :
Cette troisième partie se compose de 2 items, le premier item est en rapport avec les types de difficultés rencontrés par les apprenants, et dans le deuxième ils ont à définir les facteurs qui favorisent ces difficultés.
III.I. Types de difficultés.
III.II Facteurs
Après l’analyse des questions qui concernent les difficultés j’ai remarqué que les difficultés majeures (lexicales) ont une relation directe avec la compréhension des textes. Ces difficultés de la compréhension de l'écrit sont principalement causées par le bagage lexical des apprenants qui est insuffisant, dont les textes non adaptés à l’âge des apprenants et les thèmes démotivants favorisent ces difficultés.
70% des enseignants considèrent que les difficultés majeures sont d’ordre lexical, car l’apprenant porte un bagage lexical réduit.
IV. Méthodes d’enseigner la compréhension de l’écrit :
Cette dernière partie du questionnaire se compose de quatre items.
Le premier item permet de savoir comment les enseignants procèdent lors d’une séance le la compréhension de l’écrit, est ce qu’ils procèdent par une lecture magistrale, une lecture silencieuse, faire lire le texte expressivement par les élèves ou autres. Le deuxième item s’intéresse à la manière de poser les questions et de récolter les réponses. Le troisième permet d’avoir la méthode la plus efficace dans l’enseignement /apprentissage de la compréhension de l’écrit et le dernier rend compte de l’approche par compétence si elle donne des résultats dans la compréhension de l’écrit.
IV. I Comment procéder une séance de la C.E
La lecture silencieuse est bien plus rapide et plus efficace que la lecture orale qui oblige à suivre le texte lettre après lettre.
La majorité des enseignants procèdent lors d’une séance de la compréhension de l’écrit par une lecture silencieuse ensuite soit une lecture magistrale pour corriger la prononciation, soit une lecture sélective ou une lecture vérificative pour vérifier la compréhension des apprenants.
Certains enseignants procèdent par l’étude du para texte (titre-illustrations-auteur,…) d’autres par une lecture magistrale.
On remarque que chaque enseignant procède lors d’une séance de la compréhension de l’écrit avec une méthode qu’il la trouve utile pour ces apprenants.
IV.II Questions-réponses
On remarque que tous les enseignants posent des questions et récoltent les réponses par groupes d’élèves, car pour les élèves, le travail en groupes est généralement un facteur de motivation. Il permet aux plus réservés de s’exprimer et incite la plupart des élèves à s’investir dans une démarche de travail, ouvrant sur un possible apprentissage, et pour l’enseignant, ce type de travail est l’occasion d’observer la façon dont l’apprentissage se construit, les obstacles aux quels sont confrontés les élèves ou les groupes.
IV.III la méthode la plus efficace.
90% des enseignants considèrent que la méthode la plus efficace dans l’enseignement /apprentissage de la compréhension de l’écrit est l’approche par compétence*.
On remarque que les enseignants qui ont plus de 25 ans d’expérience ont s’adapter avec la nouvelle méthode qui est l’approche par compétence.
*L’approche par les compétences traduit le souci de privilégier une logique d’apprentissage centrée sur l’élève, sur ses actions et réactions face à des situations- problèmes, par rapport à une logique d’enseignement basée sur les savoirs et sur les connaissances à faire acquérir.
IV.IV L’approche par les compétences
L’approche par compétence a vu le jour dans l’école algérienne suite à la récente réforme éducatif mise en place par le MEN (ministère de l’Education National).
Tous les enseignants trouvent que l’approche par compétence donne plus de résultats dans la compréhension de l’écrit parce que c’est un apprentissage plus concret, plus actif et plus durable.
- Conventions de transcription
Conventions de transcription
Conventions de transcription
/
rupture de l’énoncé sans qu’il y ait réellement de pause
\
interruption d’un énoncé par l’intervention d’un interlocuteur
+, ++, +++
pause très brève, brève, moyenne
&
enchaînement rapide de paroles
↑
intonation montante après ce signe
↓
intonation descendante après ce signe
¨OUI, BRAVO
accentuation d’un mot, d’une syllabe
oui: bon::
allongement de la syllabe ou du phonème qui précède
N::: on
le nombre de : est proportionnel à l’allongement
<alors/allons>
hésitation à transcrire l’une ou l’autre forme
< ----------- ?>
séquence inaudible ou incompréhensible
A : blabla[ blabla
B : [blabla
chevauchement de parole
X, xx, xxx,
mot inaudible d’une, deux ou trois secondes
(bon) jour
( ) = partie non prononcée. Ici seul ‘’jour’’ est prononcé
‘’chépa’’
représentation phonético-orthographique
/ʃ épa /
transcription phonétique
=
liaison inhabituelle : un chant agréable (‘’un chan tagréable’’)
≠
absence inhabituelle de liaison : les ≠ (‘’les enfants’’)
yih(oui)
traduction en français des mots de l’arabe dialectal
(silence)
Silence
(rires)
Rires
f. 5(TN).001
tour de parole numéroté
système de translittération
Transcription des phonèmes de l’arabe dialectal
ϲ
ﻉ
laryngale sourde
t
ﺖ
dentale sourde / et sifflante (allophone)
th
ﺙ
Comme la lettre initiale du mot « Thank you» en anglais
H
ﺡ
Pharyngale sourde
r
ﺮ
Latérale emphatique
Ch
ﺵ
”Ch ‘’ en français
T
ﻁ
Dentale emphatique
Q
ﻚ
”K” prononcé du fond de la gorge
h
ﮬ
”h” aspiré
Kh
ﺥ
Vélaire sonore
gh
ﻍ
Vélaire sonore
S
ﺺ
Sifflante emphatique
a
ﺃ
Voyelle médiane (coup de glotte)
o
ٵ
Voyelle postérieure arrondi
i
ﺇ
Voyelle antérieure étirée
- Finalisation du travail de recherche
Finalisation du travail de recherche
Il est à rappeler que ce travail de réflexion et de recherche, longuement discuté en classe pendant les cours, vise une application méthodologique en privilégiant une démarche-action. L’étudiant est appelé à réaliser une enquête de terrain en suivant un outil d’investigation qui lui permet d’appuyer da problématique de départ ainsi que les hypothèses qui en résultent. Aussi, il est important de souligner que les trois domaines ouverts en Master ont été proposés au choix aux étudiants, avec des orientations précises concernant chaque spécialité à savoir, les sciences littéraires, les sciences du langage et la didactique des langes.
L’objectif visé par le choix d’un tel travail d’application pratique est d’installer une compétence procédurale qui permettrait au futur Materant de se familiariser avec les outils de la recherche pour ses projets à venir.
Que doit comporter un travail finalisé?
1- Une page de garde : entête de l’université, département, coordonnées de l’étudiant ou du binôme, l’intitulé du sujet choisi, le groupe, la date …
2- Un sommaire : Un plan dans lequel on verrait les grands titres de votre travail.
3- Une introduction : Elle doit suivre le cheminement suivant :
· Une présentation générale du sujet choisi/un constat
· Situer le sujet dans son contexte, le cadre, le domaine auquel il appartient etc.
· Expliquer les motivations : pourquoi avoir opté pour ce sujet ?
· Quelles sont les grandes questions que vous vous posez et qui suscitent des interrogations chez vous au point d’aller effectuer une recherche ?
· Quelles sont les hypothèses de recherches ? Quelles sont donc les premières pistes que vous avez privilégiées et qui vous ont permis d’aller les vérifier ?
· Qu’allez-vous développer dans votre travail ? Quelle stratégie allez-vous suivre ? Le plan, le déroulement de votre travail ? Allez-vous vous appuyer sur une théorie précise ? etc.
4- L’outil méthodologique : Selon le domaine suivi, quel outil avez-vous choisi pour éclairer votre problématique et vérifier vos hypothèses ? Analyse des énoncés ? Un questionnaire ? Un sondage sur les réseaux sociaux ? Une interview ? Etc. Expliquez cet outil ; dites-nous comment vous avez procédé ? Quels sont les problèmes que vous avez rencontrés ?
5- Résultats : Faites une présentation des résultats de votre recherche ? Qu’avez-vous découvert ? Qu’a révélé l’enquête ? Si l’enquête n’a pas pu être réalisée comme prévu à cause de la crise sanitaire, quels constats faites-vous ? Quels sont vos commentaires personnels sur la question ? Quelle synthèse avancez-vous et qui résume toute la réflexion faite tout au long de ce travail ?
6- Conclusion : elle aura le même volume que l’introduction. Elle répondra globalement à toutes les interrogations évoquées dans la problématique. Elle apportera des réponses à un projet naissant, comme celui d’un mémoire de Master. En fait, il s’agirait de rédiger une nouvelle réflexion, mûrie cette fois-ci car, elle sera alimentée par les résultats de la recherche que vous aurez réalisée. Il est conseillé de clore la conclusion par de nouvelles interrogations qui ouvriraient de nouveau un débat.
7- Bibliographie : si vous avez utilisé des ouvrages (auteur-s, l’année de l’édition, le titre de l’ouvrage, le nom de l’édition), des dictionnaires ou des sites sur internet, mettez-les à la fin de votre projet, en les classant par rubriques et par ordre alphabétique les noms des auteurs.
Quelles sont les étapes de la réalisation du projet de recherche ?
La feuille de route pour la présentation orale du projet
Mon projet de recherche doit comporter les étapes suivantes :
1- Une introduction générale : elle doit comporter :
· Des définitions sommaires (non approfondies) des concepts clés
· Le constat de l’objet de la recherche : qu’avez-vous constaté et qui vous a poussé à choisir ce sujet ? Qu’est-ce qui vous a amené à vous poser les questionnements et poser le problème ?
· Une problématique (la question principale + les questions secondaires)
· Les hypothèses de recherche : des phrases déclaratives exprimant des conclusions provisoires et qui restent à vérifier par une enquête de terrain.
· Ce qui est envisagé dans l’enquête de terrain.
2- Un cadre théorique :
· Présentation de de la thématique choisie
· Définir de manière exhaustive les concepts clés de votre sujet.
· Définir toutes les notions en relation avec votre sujet traité.
· Il est intéressant d’inclure aussi quelques citations d’auteurs qui évoquent elles aussi les mêmes notions.
3- Cadre méthodologique et enquête de terrain :
· Où s’est déroulée l’enquête de terrain ?
· Avec qui s’est déroulée l’enquête de terrain ? Préciser la population d’enquête ou/et le corpus utilisé.
· Comment s’est déroulée l’enquête de terrain ?
· Quels problèmes avez-vous rencontrés lors du déroulement de l’enquête ?
· Quel est l’outil (ou quels sont les outils) que vous avez utilisé(s) pour votre enquête ? Présentez un exemple vierge.
· Commentaire et analyse des données recueillies : ils doivent se faire en rapport direct avec la problématique et les hypothèses. L’analyse doit ramener des réponses à vos questionnements de départ.
· Il est recommandé de faire de petites conclusions à chaque fois que vous arrivez à des résultats partiels (de petites synthèses par rapport aux données auxquelles vous êtes arrivés.
4- Conclusion générale : elle doit comporter :
· Synthèse générale des résultats obtenus
· Vérification des hypothèses de recherche
· Réflexions générales sur votre travail accompli en se projetant sur de nouvelles perspectives de recherche concernant le sujet que vous venez de traiter.
Quelques recommandations pour la présentation orale de votre travail :
Comment je dois présenter en 5 mn, oralement mon travail ? Je dois insister sur quoi ?
· Rappeler la problématique
· Rappeler les hypothèses de recherche
· C’est quoi l’objectif de votre recherche ? le travail a été réalisé pour montrer (ou démontrer) quoi ?
· Compte-rendu de l’enquête de terrain : c’est quoi l’outil utilisé ? Où et avec qui vous avez effectué l’enquête ? Comment vous l’avez réalisée ? Quelles difficultés vous avez rencontré ? Donner et commenter quelques résultats obtenus.
· Une réflexion personnelle (commentaire personnel) sur le travail effectué : satisfait ? Qu’est-ce qui reste à réaliser ? Hypothèses confirmées ? Non confirmées ? Objectif atteint ? (atteint à 50% ?)…..
Notes importantes:
1- Les étudiants qui ont travaillé en binôme doivent être présents tous les deux lors de la présentation orale. L’évaluation se fera de manière individuelle.
2- Tout travail non personnel (anciens travaux de master, travaux pris de Google ou autres), ne sera pas pris en compte et donc non corrigé.
Quelles sont les étapes de la réalisation du projet de recherche ?
La feuille de route pour la présentation orale du projet
Mon projet de recherche doit comporter les étapes suivantes :
1- Une introduction générale : elle doit comporter :
· Des définitions sommaires (non approfondies) des concepts clés
· Le constat de l’objet de la recherche : qu’avez-vous constaté et qui vous a poussé à choisir ce sujet ? Qu’est-ce qui vous a amené à vous poser les questionnements et poser le problème ?
· Une problématique (la question principale + les questions secondaires)
· Les hypothèses de recherche : des phrases déclaratives exprimant des conclusions provisoires et qui restent à vérifier par une enquête de terrain.
· Ce qui est envisagé dans l’enquête de terrain.
2- Un cadre théorique :
· Présentation de de la thématique choisie
· Définir de manière exhaustive les concepts clés de votre sujet.
· Définir toutes les notions en relation avec votre sujet traité.
· Il est intéressant d’inclure aussi quelques citations d’auteurs qui évoquent elles aussi les mêmes notions.
3- Cadre méthodologique et enquête de terrain :
· Où s’est déroulée l’enquête de terrain ?
· Avec qui s’est déroulée l’enquête de terrain ? Préciser la population d’enquête ou/et le corpus utilisé.
· Comment s’est déroulée l’enquête de terrain ?
· Quels problèmes avez-vous rencontrés lors du déroulement de l’enquête ?
· Quel est l’outil (ou quels sont les outils) que vous avez utilisé(s) pour votre enquête ? Présentez un exemple vierge.
· Commentaire et analyse des données recueillies : ils doivent se faire en rapport direct avec la problématique et les hypothèses. L’analyse doit ramener des réponses à vos questionnements de départ.
· Il est recommandé de faire de petites conclusions à chaque fois que vous arrivez à des résultats partiels (de petites synthèses par rapport aux données auxquelles vous êtes arrivés.
4- Conclusion générale : elle doit comporter :
· Synthèse générale des résultats obtenus
· Vérification des hypothèses de recherche
· Réflexions générales sur votre travail accompli en se projetant sur de nouvelles perspectives de recherche concernant le sujet que vous venez de traiter.
Quelques recommandations pour la présentation orale de votre travail :
Comment je dois présenter en 5 mn, oralement mon travail ? Je dois insister sur quoi ?
· Rappeler la problématique
· Rappeler les hypothèses de recherche
· C’est quoi l’objectif de votre recherche ? le travail a été réalisé pour montrer (ou démontrer) quoi ?
· Compte-rendu de l’enquête de terrain : c’est quoi l’outil utilisé ? Où et avec qui vous avez effectué l’enquête ? Comment vous l’avez réalisée ? Quelles difficultés vous avez rencontré ? Donner et commenter quelques résultats obtenus.
· Une réflexion personnelle (commentaire personnel) sur le travail effectué : satisfait ? Qu’est-ce qui reste à réaliser ? Hypothèses confirmées ? Non confirmées ? Objectif atteint ? (atteint à 50% ?)…..
Notes importantes:
1- Les étudiants qui ont travaillé en binôme doivent être présents tous les deux lors de la présentation orale. L’évaluation se fera de manière individuelle.
2- Tout travail non personnel (anciens travaux de master, travaux pris de Google ou autres), ne sera pas pris en compte et donc non corrigé.